- EAN13
- 9782752911469
- Éditeur
- Phébus
- Date de publication
- 18/01/2018
- Collection
- Littérature étrangère
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782752911469
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
10.99
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Papier - Phébus 15,00
Diyarbakir, capitale du Kurdistan turc, aujourd’hui : sur les remparts de la
forteresse antique de Sur, la neige tombe. Lente, douce et tranquille.
Dialoguant avec une mystérieuse interlocutrice, Oya Baydar, figure majeure de
la littérature turque et ancienne militante marxiste, revient sur une vie de
luttes dont la tragédie kurde contemporaine est l’ultime chapitre. L’idéal
révolutionnaire et les bonnes intentions d’une génération d’intellectuels
turcs se heurtent, en des chants alternés, à la réalité crue de la guerre et
quotidien d’un peuple, pour qui l’urgence est de survivre. Née à Istanbul en
1940, Oya Baydar a publié son premier roman à 17 ans, avant de passer dans les
rangs du marxisme et de s’engager dans une carrière politique. Arrêtée en 1971
à la suite du coup d’État, elle a été emprisonnée pendant deux ans, avant de
s’exiler à Francfort de 1980 à 1991. Ce n’est qu’en 1991, qu’elle regagne la
Turquie et renoue avec la scène littéraire. Elle est l’auteur de six romans
très remarqués, dont Parole perdue (Phébus, 2010) et Et ne reste que des
cendres : deux chefs-d’œuvre.
forteresse antique de Sur, la neige tombe. Lente, douce et tranquille.
Dialoguant avec une mystérieuse interlocutrice, Oya Baydar, figure majeure de
la littérature turque et ancienne militante marxiste, revient sur une vie de
luttes dont la tragédie kurde contemporaine est l’ultime chapitre. L’idéal
révolutionnaire et les bonnes intentions d’une génération d’intellectuels
turcs se heurtent, en des chants alternés, à la réalité crue de la guerre et
quotidien d’un peuple, pour qui l’urgence est de survivre. Née à Istanbul en
1940, Oya Baydar a publié son premier roman à 17 ans, avant de passer dans les
rangs du marxisme et de s’engager dans une carrière politique. Arrêtée en 1971
à la suite du coup d’État, elle a été emprisonnée pendant deux ans, avant de
s’exiler à Francfort de 1980 à 1991. Ce n’est qu’en 1991, qu’elle regagne la
Turquie et renoue avec la scène littéraire. Elle est l’auteur de six romans
très remarqués, dont Parole perdue (Phébus, 2010) et Et ne reste que des
cendres : deux chefs-d’œuvre.
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