- EAN13
- 9782200270704
- Éditeur
- Armand Colin
- Date de publication
- 13/10/2010
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782200270704
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Entre les « climato-sceptiques » et les tenants du réchauffement appartenant
au Groupe International d’Experts sur le Changement Climatique (GIEC), le
public s’interroge : est-il possible de trancher avec certitude ? Et quelle
est la part des activités humaines dans le réchauffement annoncé ? En
s’interrogeant sur les conditions qui devraient présider à un débat informé,
et en dénonçant sans concession les Tartuffes politiciens du climat, l’auteur
questionne une idée hérétique en apparence : l’issue du débat est-elle si
importante que l’on veut nous le faire croire ? Les changements climatiques
brutaux, quels qu’ils soient, n’ont-ils pas tous des effets identiques sur les
populations les plus fragiles dans les pays les plus pauvres ? Si c’était le
cas, une mutation énergétique sans précédent s’imposerait plus que jamais : le
passage des sources fossiles vers des sources renouvelables.
La question du développement des pays les moins avancés se poserait aussi de
manière nouvelle : éviter de commettre les mêmes « erreurs » que les pays
industrialisés est une nécessité majeure et pas seulement en matière
climatique. De même qu’il est urgent pour l’avenir de la planète de mettre un
terme au pillage du tiers-monde. Et de combattre le caractère meurtrier de la
mondialisation.
au Groupe International d’Experts sur le Changement Climatique (GIEC), le
public s’interroge : est-il possible de trancher avec certitude ? Et quelle
est la part des activités humaines dans le réchauffement annoncé ? En
s’interrogeant sur les conditions qui devraient présider à un débat informé,
et en dénonçant sans concession les Tartuffes politiciens du climat, l’auteur
questionne une idée hérétique en apparence : l’issue du débat est-elle si
importante que l’on veut nous le faire croire ? Les changements climatiques
brutaux, quels qu’ils soient, n’ont-ils pas tous des effets identiques sur les
populations les plus fragiles dans les pays les plus pauvres ? Si c’était le
cas, une mutation énergétique sans précédent s’imposerait plus que jamais : le
passage des sources fossiles vers des sources renouvelables.
La question du développement des pays les moins avancés se poserait aussi de
manière nouvelle : éviter de commettre les mêmes « erreurs » que les pays
industrialisés est une nécessité majeure et pas seulement en matière
climatique. De même qu’il est urgent pour l’avenir de la planète de mettre un
terme au pillage du tiers-monde. Et de combattre le caractère meurtrier de la
mondialisation.
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