- EAN13
- 9782081394001
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 05/10/2016
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Flammarion 16,90
On attend d’un médecin qu’il écoute, rassure, explique et s’efforce de «
Guérir parfois. Soulager souvent. Consoler toujours ». On attend d’un médecin
qu’il soigne.En France, la réalité est autre : de la violence verbale aux
jugements de valeurs, de la discrimination au refus de prescription, des
épisiotomies arbitraires à la chimiothérapie imposée, bon nombre de médecins
brutalisent les patients, à commencer par les femmes.Ces brutes en blanc
trahissent la déontologie et enfreignent les lois.Ce n’est pas un hasard : la
caste hospitalière, profondément sexiste, ne se consacre pas aux soins, mais à
ses luttes de pouvoir ; dans les facultés, la formation éthique et
psychologique est absente, le savoir sous la coupe de mandarins aux valeurs
archaïques et l’esprit scientifique parasité par les industriels. Comment
s’étonner, alors, que tant de médecins se comportent en aristocrates hautains,
et non en professionnels au service du public ?Le temps est venu de dire non à
cette maltraitance d’un autre âge.La santé des citoyens vaut bien une révolte.
Ou une révolution.
Guérir parfois. Soulager souvent. Consoler toujours ». On attend d’un médecin
qu’il soigne.En France, la réalité est autre : de la violence verbale aux
jugements de valeurs, de la discrimination au refus de prescription, des
épisiotomies arbitraires à la chimiothérapie imposée, bon nombre de médecins
brutalisent les patients, à commencer par les femmes.Ces brutes en blanc
trahissent la déontologie et enfreignent les lois.Ce n’est pas un hasard : la
caste hospitalière, profondément sexiste, ne se consacre pas aux soins, mais à
ses luttes de pouvoir ; dans les facultés, la formation éthique et
psychologique est absente, le savoir sous la coupe de mandarins aux valeurs
archaïques et l’esprit scientifique parasité par les industriels. Comment
s’étonner, alors, que tant de médecins se comportent en aristocrates hautains,
et non en professionnels au service du public ?Le temps est venu de dire non à
cette maltraitance d’un autre âge.La santé des citoyens vaut bien une révolte.
Ou une révolution.
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