Alex-Mot-à-Mots

https://alexmotamots.fr/

Alex L., lectrice compulsive, presque anonyme.
Ayant une préférence pour les bons polars, mais aimant aussi les autres genres (sauf la SF, pitié....)

7,90
Conseillé par
3 décembre 2015

amour, Québec

Une écriture en plein songe, un rythme particulier pour une histoire d’amour qui transcende les générations.

Une héroïne délaissée par sa mère, élevée par ses trois tantes qui ne cessent jamais de la voir comme une « petite ». Une femme maltraitée par son mari et qui cherche à le tuer par tous les moyens.

Un médecin amoureux au-delà du raisonnable dans une société corseté.

Si l’histoire d’amour ne m’a pas passionnée, j’ai aimé le rythme si particulier des phrases d’une héroïne qui se raconte entre veille et sommeil.

L’image que je retiendrai :

Celle du magnifique traineau du médecin qui part en plein hiver à Kamouraska.

http://alexmotamots.wordpress.com/2015/11/26/kamouraska-anne-hebert

Conseillé par
3 décembre 2015

addiction

Certains portraits sont forts drôles, notamment celui du prêtre qui ressemble au pape François.

Certains passages prêtent à sourire.

Mais la dernière partie pendant les entraînement au poker m’a moins passionnée. Et j’aurais aimé en savoir plus sur Clarisse, la psy à l’origine de ce grand bazar.

Au final, des personnages attachants dans une histoire sympathique.

L’image que je retiendrai :

Celle du prêtre JC jouant au tournoi international de Las Vegas déguisé en pape François.

http://alexmotamots.wordpress.com/2015/11/24/les-ennemis-de-la-vie-ordinaire-helena-marienske

14,00
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3 décembre 2015

fable, amour

Après « La petite lumière » du même auteur que j’avais beaucoup aimé, je ne pouvais passer à côté du nouveau roman d’Antonio Moresco.

Je parle de roman car l’auteur lui-même a nommé son texte ainsi. Pourtant, comme son titre l’indique, il s’agit d’une fable qui commence par « Il était une fois ».

Quelques répétitions alourdissent parfois le texte, mais j’ai aimé cette fable d’amour entre le vieux fou et la merveilleuse fille, répété tel un mantra.

La note en fin d’ouvrage de la main de l’auteur éclaire plus profondément ce texte émouvant qui fait partie d’un triptyque (la troisième partie n’étant pas encore traduite).

L’image que je retiendrai :

Celle de la neige qui recouvre le décor ainsi que le vieux fou et la merveilleuse fille d’un voile blanc de douceur.

http://alexmotamots.wordpress.com/2015/11/22/fable-damour-antonio-moresco

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3 décembre 2015

couple, justice

Voilà un roman bouleversant sur la relation d’un adolescent en quête avec une juge qui lui a redonné le goût de vivre.

L’aspect difficultés d’un couple de soixantenaire m’a moins parlé.

Je trouve tout de même l’écriture de McEwan un peu laborieuse et peu fluide. Heureusement, ses histoires londoniennes sont passionnantes.

Un roman qui, comme son titre l’indique, pose la question de l’intérêt de l’enfant.

L’image que je retiendrai :

Celle de Fiona chantant avec Adam l’accompagnant au violon dans sa chambre d’hôpital.

http://alexmotamots.wordpress.com/2015/11/22/linteret-de-lenfant-ian-mcewan

Conseillé par
3 décembre 2015

deuil

Le résumé est un peu succinct. Le roman est chorale, qui éclaire la personnalité et les actes de Lula Ann qui se fait maintenant appeler Bride.

Au fil du texte, nous découvrons les conséquences de son secret sur sa vie avant que ce fameux secret ne nous soit révélé.

Il y a toujours un peu de magie, dans les textes de Toni Morrison, mais dans ce roman-ci, je l’ai trouvé moins ensorcelant.

Un roman sur l’importance de la parole pour se délivrer du poids des secrets.

L’image que je retiendrai :

Celle des vêtements toujours blancs de Bride sur sa peau noire.

http://alexmotamots.wordpress.com/2015/11/20/delivrances-toni-morrison