- EAN13
- 9782140347979
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 16/10/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782140347979
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24.99
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Papier - L'Harmattan 32,00
Le présent ouvrage commente la loi n° 2001-03 du 22 janvier 2001 portant
Constitution de la République du Sénégal, mise à jour et dont seule la version
officielle fait foi. Cette Constitution, qui est la seconde du cycle
constitutionnel depuis 1959, met symboliquement et juridiquement fin à la loi
n° 59-003 du 24 janvier 1959 portant Constitution de la République du Sénégal.
Dès lors, il n'est pas sans intérêt de savoir que c'était justement une
continuité du système constitutionnel de 1960 à 2000, même si, durant cette
période, les régimes politiques ont vécu, par moments, des convulsions
institutionnelles. Au demeurant, le commentaire tiendra compte de la sagesse
doctrinale selon laquelle, « en politique, les destinations du
constitutionnaliste sont diverses. Ses compétences avérées et la présomption
de maîtrise de l'État dont le politique crédite le spécialiste justifient,
d'une part, la sensibilité des fonctions qu'il exerce et, d'autre part, la
gravité des travers dont il est, soit le complice, soit la caution, soit la
victime collatérale » (F. J. Aïvo).
Constitution de la République du Sénégal, mise à jour et dont seule la version
officielle fait foi. Cette Constitution, qui est la seconde du cycle
constitutionnel depuis 1959, met symboliquement et juridiquement fin à la loi
n° 59-003 du 24 janvier 1959 portant Constitution de la République du Sénégal.
Dès lors, il n'est pas sans intérêt de savoir que c'était justement une
continuité du système constitutionnel de 1960 à 2000, même si, durant cette
période, les régimes politiques ont vécu, par moments, des convulsions
institutionnelles. Au demeurant, le commentaire tiendra compte de la sagesse
doctrinale selon laquelle, « en politique, les destinations du
constitutionnaliste sont diverses. Ses compétences avérées et la présomption
de maîtrise de l'État dont le politique crédite le spécialiste justifient,
d'une part, la sensibilité des fonctions qu'il exerce et, d'autre part, la
gravité des travers dont il est, soit le complice, soit la caution, soit la
victime collatérale » (F. J. Aïvo).
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